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le pen - Page 22

  • Trahison à Versailles

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Une nouvelle fois, le château de Versailles, symbole de la souveraineté et de la grandeur de la France, est le théâtre d’une trahison de la nation.

    En 2005, les députés et sénateurs avaient modifié la Constitution pour qu’elle puisse être compatible avec la Constitution européenne.

    Or le peuple français avait ensuite rejeté ce texte.

    Les députés et les sénateurs récidivent aujourd’hui, comme si les Français ne s’étaient pas exprimés.

    Ce que le peuple a refusé en 2005, les représentants de peuple l’imposent en 2008.

    Cette forfaiture disqualifie la représentation nationale.

    C’est ce que nous dirons, haut et fort, mercredi, à 12h 30, face à l’Assemblée nationale.

  • Heurs et malheurs de l’ouverture

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Lors de la mise en place de la Commission Pochard sur l’avenir de la condition d’enseignant, j’avais proposé la candidature de Jean-Richard Sulzer, universitaire renommé et professeur titulaire à l’Université Paris Dauphine, pour représenter le Front National.

    Ma lettre était restée sans suite, car Monsieur Darcos et le Gouvernement n’avaient pas souhaité heurter Monsieur Michel Rocard, qui avait également été pressenti.

    On voit aujourd'hui les résultats de cette ouverture en trompe l’œil : Monsieur Rocard vient de claquer la porte de la Commission Pochard , laquelle s’est privée, pour rien, de l’expérience du Doyen Sulzer, pourtant éminemment représentatif des grandes traditions académiques françaises.

  • La dictature européenne en acte

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    L’Assemblée nationale a adopté le projet de loi qui ouvre les fonctions de capitaine de la marine marchande aux étrangers.

    Le ministre Bussereau s’est en quelque sorte excusé d’aller ainsi « contre l’attachement des navigants au lien entre pavillon et nationalité du capitaine, signe visible de l’autorité de ce dernier », mais, a-t-il ajouté en substance, nous ne pouvons pas faire autrement, c’est un ordre de Bruxelles.

    La Commission européenne avait même engagé un contentieux devant la Cour de Justice contre la France qui continuait de réserver les fonctions de capitaine à des nationaux.

    Telle est la dictature européenne, toujours plus anti-nationale, et qui sera encore aggravée par la Constitution-bis .

    J’appelle les Français à réclamer un référendum sur ce nouveau texte liberticide, et à manifester avec le Front national, à l’Assemblée nationale le 6 février prochain.

  • L’anti-discrimination jusqu’au délire

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Sous la pression de la Commission européenne, l’Assemblée nationale reprendra ses travaux, après les élections, par l’examen d’un projet de loi de lutte contre les discriminations.

    On croyait être à la pointe en ce domaine, mais non.

    La France est accusée de ne pas avoir correctement transposé en droit français trois directives européennes. La Commission nous reproche notamment de ne pas avoir défini les discriminations directes et indirectes, et de ne pas avoir assez transposé la disposition qui interdit d’enjoindre à quiconque de pratiquer une discrimination !

    C’est un nouvel exemple de la dictature ubuesque de Bruxelles, qui par ailleurs n’a rien contre la discrimination, quand elle se prétend « positive ».

    C’est un exemple aussi de l’incurie de nos gouvernants qui, par dévotion idéologique, disent amen aux propositions les plus absurdes de la Commission , et sont ensuite contraints de les transposer, ou de tenter de les transposer, en droit français.

  • Vers un parti européen des patriotes

    Comme je le signalais samedi, Jean-Marie Le Pen (FN), Heinz-Christian Strache (FPÖ), Volen Siderov (Ataka), Frank Vanhecke (Vlaams Belang), se sont réunis vendredi dernier à Vienne, avec pour objectif de préparer la création d’un parti européen. Voici quelques précisions.

    Les partis européens, ou plus exactement « partis politiques au niveau européen », ne doivent pas être confondus avec les groupes du Parlement européen. Leur création avait été prévue dans le traité de Maastricht, et les premiers d’entre eux se sont constitués dès 2004. Ces partis transnationaux sont encouragés par Bruxelles qui les voit naturellement comme des vecteurs de l’européisme et de la destruction des nations.

    Les conditions de création d’un tel parti sont assez souples. « Il doit être représenté dans au moins un quart des Etats membres, par des membres du Parlement ou des parlements nationaux ou des assemblées régionales, ou avoir reçu dans au moins un quart des Etats membres au moins 3% des suffrages à la plus récente des élections au Parlement européen. » D’autre part il doit répondre aux principes sur lesquels est fondée l’Union européenne, à savoir, non pas le dogme européiste, mais « les principes de liberté, de démocratie, de respect des droits humains et des libertés fondamentales, et l’état de droit ».

    Il va de soi que les partis patriotes, défenseurs des souverainetés nationales, répugnent à créer un tel parti dont la mission est directement contraire à leur doctrine. Mais les critères définis par l’Union européenne n’empêchent nullement, a priori, la constitution d’un parti européen de ceux qui ne veulent pas de partis européens...

    Or les partis européens bénéficient de fonds importants et de moyens de communication spécifiques. Autant ne pas laisser seulement les européistes en profiter.

    Ainsi, comme l’explique Jean-Marie Le Pen, « nous avons décidé, avec le FPÖ autrichien, le Vlaams Belang flamand, et le parti bulgare Ataca, pour commencer, de travailler pour mettre en place, avant le 15 novembre prochain, un parti politique européen qui, répondant aux critères de l’Union européenne, pourra à égalité avec les autres partis, défendre ses idées ». L’objectif est d’arriver à incorporer dix autres partis de divers pays dans ce parti européen qui n’a pas encore de nom.

    Jean-Marie Le Pen précise que la ville de Vienne a été choisie symboliquement pour lancer ce projet, parce que « c’est la ville devant laquelle l’offensive turque de conquête de l’Europe a dû céder : c’est à Vienne que les Turcs ont été contraints de lever leur siège et de rentrer chez eux ».

    Lors de la conférence de presse commune des quatre dirigeants, le président du FPÖ, Hanz-Christian Strache, a repris le slogan lancé naguère par Jean-Marie Le Pen : « Patriotes de tous les pays européens, unissez-vous ! » Il a souligné que l’Europe devait se protéger de l’islamisation, et que le parti européen en gestation était tourné vers les traditions chrétiennes de l’Europe, englobant des pays non membres de l’UE comme la Serbie ou la Russie (des partis de pays non membres de l’UE peuvent en effet être membres d’un parti européen), à l’exclusion de la Turquie.

    « Nous respectons toutes les autres cultures, mais nous aimons avant tout notre propre culture. Nous voulons une Europe qui assume sa responsabilité sociale, pas une Europe qui encourage cette folie de mondialisation », a-t-il précisé.

  • Jacques Attali et « Sa majesté »

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    En remettant son rapport à Nicolas Sarkozy, Jacques Attali a ouvert son allocution par une longue citation d’une lettre de Turgot à Louis XVI. C’était « Votre majesté » par ci, « Votre majesté » par là.

    Comme Turgot, en effet, Jacques Attali veut que toutes ses « décisions » soient mises en œuvre. Pour faire de la France une zone d’ultra-libéralisme soumise à tous les vents de la finance et de l’immigration planétaires.

    Et « Sa majesté » opine, « adhère à l’essentiel », malgré deux petites réserves.

    Jacques Attali voulait-il faire comprendre à Nicolas Sarkozy que s’il n’applique pas son plan de destruction sociale et nationale, il subira le même sort que Louis XVI ?
    Quelle sinistre mascarade, dont le peuple français doit faire les frais. A moins qu’il se réveille aux prochaines élections pour obliger « Sa majesté » à renvoyer ses calamiteux courtisans.

  • La langue de bois européenne face à la crise boursière

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Face à la nouvelle crise financière, les autorités européennes semblent hésiter entre la politique de l’autruche et la méthode Coué.

    A supposer que le choc boursier soit passager, il n’en demeure pas moins qu’il révèle et souligne la fragilité d’un système durablement ébranlé par la crise des « subprimes », à laquelle s’ajoute le problème des « rehausseurs de crédit », tandis que pèse la menace de récession américaine.

    Il est extravagant de prétendre que l’Europe peut rester en dehors des turbulences, au motif hélas faux que « ses fondamentaux sont forts ».

    Les Français risquent de comprendre à leurs dépens ce que signifie le fait de s’être livrés pieds et poings liés à des autorités supranationales.

  • Le Pen et la Marche pour la Vie

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Jean-Marie Le Pen souhaite le plus grand succès à la Marche pour la Vie qui se déroulera dimanche à Paris.

    Seule une forte mobilisation est susceptible d’ouvrir les yeux et les cœurs des autorités civiles, morales et religieuses, et de préparer la voie à une nécessaire politique de soutien à la vie, qui donnerait son sens à une authentique « politique de civilisation » et de redressement national.

  • Une base française face à l’Iran...

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La France va créer une base interarmées permanente à Abou Dhabi. Sa mission sera d’apporter un « soutien aux éléments français déployés dans la région et en particulier les forces navales qui s’y trouvent en permanence », dit Hervé Morin.

    Qui ne voit que cette base se trouvera face à l’Iran, et que l’armée française va jouer les supplétifs de l’armée américaine ?

    L’alignement de Nicolas Sarkozy sur les Etats-Unis prend brusquement une tournure extrêmement inquiétante.